Prêt Immobilier
Renégocier mon prêt : où trouver le meilleur courtier ?
L’obtention d’un prêt immobilier tel qu’un particulier l’avait imaginé repose seulement sur le fait que le dossier ait été parfaitement étudié. De ce fait, il est important de bien considérer toutes les démarches indispensables avant de déposer sa demande. Le meilleur moyen de s’en assurer est celui de confier toutes les opérations aux professionnels du domaine : les courtiers.
Ces derniers temps, la majorité des demandes de prêts immobiliers ont eu des résultats positifs et inattendus grâce à eux. Il a été prouvé que le taux de réussite dépasse les 50 % pour celles ayant été secondées par les courtiers. Mais seulement où les trouver ?
Les futurs emprunteurs ont toujours été conseillés de consulter les sites comparateurs avant d’aller auprès des banques. Ces sites permettent de partager à la personne considérée un minimum d’informations pour qu’elle puisse se fixer sur ce qui l’attend. Les données dont elle peut se procurer se divisent en trois types selon ses besoins. Pour les novices, ces sites peuvent l’informer sur les dernières offres correspondant à son profil. Ce dernier regroupe, en général, la somme à emprunter et les situations personnelles du demandeur. Puis, ils proposent également les outils de simulation grâce auxquels la personne peut faire quelques calculs en rapport avec les données relatives aux offres retenues. Et enfin, pour ce qui est des sites dirigés par des sociétés de courtage, ils présentent aussi les services de leurs courtiers.
Il est à noter que tous les sites se trouvant sur internet ne sont pas tous fiables, en termes, de données. Il y en a qui sont dirigés par les sociétés de courtage, comme il est mentionné plus tôt et d’autres, administrés par des particuliers en étroite collaboration avec les banques. Cette coopération se distingue au niveau de la liste qui renferme uniquement celles avec qui ils ont fait accord. Il est alors important de regarder les dernières dates de mises à jour. Elle doit être obligatoirement la plus récente possible afin que le site soit crédible.
En ce qui concerne les courtiers, ces sites doivent fournir une panoplie de renseignements correspondant à chacun d’eux. Il faut alors que l’emprunteur puisse choisir à travers ses qualités et ses réputations, matérialisées par les performances, les spécialisations, les frais de service, les champs de travail, mais surtout les recommandations. Ce dernier point est plus qu’important puisqu’un courtier n’ayant aucune recommandation venant d’autres clients n’est pas souhaitable. Le réseau est donc à considérer avant de choisir son courtier.
Même si un courtier est doté d’un solide appui, il ne faut pas oublier de vérifier ses conditions de travail étant donné que cela va débourser de l’argent. Pour ce faire, on dispose de quatre options. Un courtier professionnel possède une « assurance responsabilité civile professionnelle ». Il est obligatoirement enregistré à l’ACP ou Autorité de Contrôle Prudentiel. Les références peuvent être justifiées auprès des banques avec qui ils travaillent puis finalement, les paiements ne doivent se faire que lorsque les résultats sont palpables. Chaque client est dans le droit d’effectuer toutes confirmations avant de commencer la collaboration.
En rapport avec ses connaissances et ses expériences, un courtier peut entrer en scène dans presque toutes les étapes de la demande. Depuis l’établissement du profil du client jusqu’à la signature des contrats et en passant par les négociations des différents taux (intérêt et assurances), les garanties, les pénalités et les frais de dossier, un courtier peut apporter son influence. Tous ces éléments réunis conduiraient l’emprunteur à des économies très considérables. Même si les sites comparateurs qu’on aperçoit sur internet regroupent déjà toutes les informations dont chacun des particuliers voulant s’engager dans un prêt immobilier a besoin, approfondir ses recherches ne serait pas de trop.
Contrat de prêt immobilier : quelles sont les clauses les plus importantes à analyser ?
Quand il est question de somme d’argent, tous les points d’un contrat doivent être sérieusement étudiés. Seulement, quelques-uns parmi eux doivent faire l’objet d’un œil vigilant puisqu’ils engageront soit un très gros profit soit carrément le contraire.
À cet effet, il faut, dans un premier temps, mettre de la lumière au niveau des taux d’intérêt. Ces derniers constituent le fondement du contrat. L’emprunteur doit avoir le choix entre un taux fixe ou encore un taux variable. Le taux fixe est la somme en plus à payer par l’emprunteur avec ses mensualités. Sa valeur ne change pas, du début à la fin du contrat de prêt immobilier. Étant donné que le monde de l’immobilier évolue en fonction de la situation économique nationale, voire internationale, les établissements de prêts se sont chargés de définir ce taux en accord avec les évènements économiques courants. En conséquence, il est plutôt considérable. Par contre, le taux variable rime avec l’économie. Durant les temps durs, il arrive à atteindre un seuil très bas tout comme il peut augmenter notablement pendant les moments de gloire du domaine. Des fois, il peut même dépasser la valeur du taux fixe. À première vue, le taux variable parait plus avantageux pour un emprunteur. Donc pour ne pas demeurer dans le flou, avant de procéder à un choix, il faut demander les tableaux d’amortissements et d’échéanciers relatifs à son type de prêt.
Les conditions de remboursement sont un point à ne pas négliger. Il s’agit particulièrement du montant des mensualités, de la durée du prêt et puis la valeur de la pénalisation si le paiement se fait avec un retard. En fait, le taux d’intérêt et ces derniers s’accoudent étroitement : plus la durée est longue, plus les dettes mensuelles diminuent ce qui laisse une place à un taux d’intérêt relativement élevé.
Il est toujours conseillé de prévenir les éventuelles difficultés. Il se peut que l’emprunteur traverse des périodes délicates, c’est pour cela que l’emprunteur doit faire en sorte d’obtenir des mensualités plutôt souples. Ce qui signifie qu’elles peuvent être revisitées à un certain temps.
Durant la période des négociations, les indemnités de remboursement anticipé sont importantes. Après avoir entamé les paiements mensuels et que la durée restante s’étale encore sur au moins 10 années, l’emprunteur peut opter pour un rachat de crédit auprès d’un autre établissement de prêt afin de payer ses dettes. Cependant, il faut que cette dernière offre soit de loin plus avantageuse pour l’emprunteur puisque sinon ce ne serait qu'une perte de temps et d'argent. En ayant recours à ce procédé, la première banque pourrait entrer en déficit. C’est alors là que l’emprunteur lui verse ces indemnités. La valeur est plafonnée à 6 mois d’intérêts soit 3 % d’intérêts de la somme restante.
Les assurances sont toujours requises même si certaines sont facultatives. Combien même il est important et présomptueux pour l’emprunteur d’en disposer. En général, il s’agit des assurances décès, invalidité et/ou perte d’emploi. Cela pourrait alléger les dépenses de la famille de l’emprunteur, mais aussi une forme de sécurité pour les établissements de prêts.
En parlant de garanties, le choix devrait normalement revenir à l’emprunteur. Cependant, il en existe plusieurs types selon les possibilités financières de chacun. Les banques veilleront également à ce que l’emprunteur ait fait le choix le plus convenable. Il s’agit des hypothèques, du cautionnement et des « privilèges de prêteurs de derniers ».
Théoriquement, tous les éléments figurant dans un contrat de prêts immobiliers doivent être régis par des lois précises. Aussi, chaque emprunteur a le droit de pointer du doigt les formes d’abus qu’il a repérées (en toute connaissance de cause). Ces dernières pourraient lui être bénéfiques grâce à des indemnités.
Assurances : comment choisir les garanties de mon prêt immobilier ?
Avant de s’engager dans un crédit immobilier, il ne faut pas négliger la clause concernant « les garanties du prêt immobilier ». Pour garantir votre prêt, il vous faut souscrire à une assurance-crédit. Cette étape est très importante car sans elle, aucun emprunteur quel qu’il soit ne peut obtenir un prêt auprès des établissements bancaires.
Le choix de la garantie est donc déterminant pour sécuriser votre investissement. Une assurance-crédit présente des avantages pour la banque comme pour les emprunteurs. L’assurance crédit permet à la banque de se faire rembourser la totalité du crédit même au cas où l’emprunteur décède ou ne peut plus travailler. L’assurance-crédit a pour rôle donc de protéger l’emprunteur et ses proches.
La garantie décès est essentielle dans un contrat d’assurance. En effet, en cas de décès de l’emprunteur, l’assurance continuera de payer les mensualités et surtout de ne pas transmettre les dettes aux ayants droits de l’emprunteur. C’est la garantie minimum que la banque pourra exiger.
La garantie d’invalidité garantie la continuité des remboursements en cas de perte d’autonomie de l’emprunteur suite à un accident ou à une maladie, et qui le prive d’exercer normalement son emploi.
La garantie d’incapacité est facultative car son champ d’application ressemble un peu à celui de la garantie d’invalidité. Cependant, cette incapacité d’exercer son activité professionnelle peut être temporaire ou définitive.
La garantie de perte d’emploi n’est qu’une option. Mais certaines banques peuvent l’exiger compte tenu de la fragilité économique et la conjecture dans lequel se trouve le secteur d’activité de l’emprunteur au moment de l’emprunt.
Il est tout à fait possible de souscrire à des garanties personnalisables pour optimiser son assurance à moindre coût. Vous évitez ainsi de relayer des assurances standards qui coûtent chers et qui ne répondront pas efficacement à vos besoins.
Pour personnaliser les assurances, il convient de renforcer certaines options et d’en éliminer d’autres. Une bonne assurance doit correspondre en tout point au profil du souscripteur. En effet, un souscripteur qui pratique un sport de haut niveau ou un sport dangereux ne devra pas être couvert de la même manière que tous ceux qui font du vélo ou du jogging. De la même manière, un souscripteur âgé ou souffrant d’une maladie chronique ou héréditaire comme le diabète ou l’hypertension aura besoin de prendre des dispositions plus sérieuses qu’une personne bien portante.
Ainsi, lorsqu’il s’agit d’assurance crédit, on distingue plusieurs catégories de personnes dont les emprunteurs âgés de plus de 60 ans, les personnes exerçant un métier à risque (militaires, professions libérales), les emprunteurs possédant des capitaux élevés (supérieur à 500 000 euros), les personnes qui présentent un risque de santé aggravé (malade du cancer, dépression nerveuse, diabétique), les sportifs de haut niveau. Ces personnes peuvent assurer dans les mêmes conditions que tout le monde mais moyennant une surprime.
Le meilleur moyen pour gérer les imprévus est de bien maitriser son contrat d’assurance sur les bouts des doigts et de bien identifier les situations à risques qui vous permettront d’être encore couvertes ou non par votre assurance.
Ainsi, il faut faire très attention à la liste des exclusions dans les assurances crédit. Cette liste est très longue et parfois non exhaustive. Elle contient des exclusions générales comme le décès suite à un suicide, à la guerre ou à des catastrophes naturelles. Mais elle contient aussi des exclusions moins précises et plus difficiles à cerner comme les maladies nerveuses ou autres.